Je suis un monstre, avec une camisole.
Ma tête est une chambre capitonnée.
Je me cogne aux parois, fermées.
Par moments cette pièce s’inonde.
Je la sens m’emporter, cette eau noire.
Je voudrais m’échapper, sortir.
Mais il n’y a pas de porte,
Juste deux fenêtres par lesquelles l’eau
Coule doucement.
Je m’accroche à l’Espoir,
Privée de mes bras, du mieux que je peux.
Je suis dans un tourbillon, transparent.
Ma tête est une chambre capitonnée.
Je me cogne aux parois, fermées.
Par moments cette pièce s’inonde.
Je la sens m’emporter, cette eau noire.
Je voudrais m’échapper, sortir.
Mais il n’y a pas de porte,
Juste deux fenêtres par lesquelles l’eau
Coule doucement.
Je m’accroche à l’Espoir,
Privée de mes bras, du mieux que je peux.
Je suis dans un tourbillon, transparent.
Laëtitia
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